Le réalisateur Roger Gariépy remplit sa promesse de faire un film par année jusqu’à sa mort pour notre plus grand plaisir. Cette fois-ci, il s’intéresse à la crédulité et à la bienveillance et c’est ce qui a touché profondément la monteuse Sophie Leblond, qui voit dans le film un hommage au travail et à la foi. Ils nous parlent du traumatisme du premier assemblage, des défis du montage et de la rencontre avec Robert Lalonde, qui s’est littéralement mis à nu dès la première scène!